Voici un présupposé de la PNL que j’ai proposé aux enfants de l’école primaire ou j’interviens, nous avons explorer un présupposé. « La carte n’est pas le territoire »
trop de personnes confondent la carte et le territoire, la vérité ne s’arrête pas au bout de notre nez.
La carte = ce que nous percevons, nos connaissances, notre expérience.
Le territoire = l’ensemble des individus, des expériences.
Il serait bien présomptueux de réduire le territoire à notre propre carte du monde non ?
c’est pourtant ce que npus faisons très souvant sans nous en rendre compte.
inclure ce présupposé des le plus jeune âge à nos enfants c’est leurs faire gagner un temps précieux, une ouverture d’esprit.
« Chaque personne a sa propre carte du monde qui constitue sa propre réalité. Je suis responsable de ma carte du monde, de la manière dont je la dessine, dont je l’utilise, dont je la transforme ». Si j’apprends à percevoir, je peux agir donc je peux utiliser ce que je perçois pour apprendre, enrichir, développer et modifier ma carte du monde dans mes interactions avec les autres et ainsi avoir une communication optimale et par la même agrandir ma carte et ma zone de confort relationnel.
De ce fait, nous pouvons avec ce puisant présuposé enrichir notre carte du monde et ainsi apprendre et comprendre l’autre et ne plus perdre de temps dans des débats stériles et réducteurs, nous gagnons en temps en énergie.
les enfants ont montrés un très grand intérêt lors de mon intervention, quelques jours après je suis repasser dans l’école et en discutant avec une institutrice, elle me racontée l’utilisation de ce présupposé directement dans sa classe ou les élèves ont trouver un terrain commun pour faire cohabiter toutes les cartes du monde des élèves.
Je terminerais en vous citant un dernier présupposé : « Chaque personne mérite mon respect, quel que soit son modèle du monde ». Si nous appliquons ces présupposés au quotidien alors notre communication en sera que plus fluide.